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Terminologie propre à l'hypertexte

Page d'information: vue d'ensemble

vers le bas Nodes, Units, Items (nœuds, unités, articles), unités d'information
vers le bas n:m-Relation, harmonie de la cohésion
vers le bas Web-views (Visualisations Web)
vers le bas fish-eye views (visualisations œil de poisson)
vers le bas Information Retrieval (recherche documentaire)
vers le bas Orientation, Navigation, "Lost in Hyperspace" (perdu dans l'hyperespace)
vers le bas Chemins, Trails (pistes), Guided Tours (visite guidée)
vers le bas Backtracking (retour en arrière), Historie (historique), signets
vers le bas Browsing (navigation), Authoring (création)
vers le bas Sharks (requins), Holy Scrollers (saints défileurs), fichier, métaphore livresque
vers le bas Hypertext Abstract Machines (Machines hypertexte abstraites)
vers le bas World Wide Web

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Nodes, Units, Items (nœuds, unités, articles), unités d'information

Les hypertextes sont conçus de telle façon qu'ils ne sont pas prévus pour être lus de façon séquentielle. Mais qu'est-ce qui doit remplacer la lecture séquentielle? Réponse: des unités de texte qui forment un tout en soi et qui, chacune, proposent une petite poignée d'information. En reliant intelligemment les unes aux autres ces unités de texte se forme alors cet espace d'informations que l'on désigne comme hypertexte.

Pour ces unités de texte on a par le passé trouvé de nombreux termes. En voici quelques uns:

Certains des produits logiciels nommés sont historiques et ne se trouvent plus sur le marché. Au vu de cette liste on remarque que tous ces logiciels connaissent quelque chose d'analogue aux unités d'information. Seul dans le Autre page d'information World Wide Web quelque chose d'analogue fait défaut, et même en Autre page d'information HTML il n'y a rien par quoi on puisse définir une unité d'information. Il y a de bonnes raisons à cette réserve. La définition d'unités d'information peut conduire en effet facilement à des contraintes touchant leur contenu. Un "card" (écran) ou un "message" (message) n'est dans le fond pas un récipient vide mais un récipient qui exprime déjà dans son titre mais aussi la plupart du temps par sa transcription technique certaines représentations de ce qu'il contient. On voulait sur le Web renoncer à ces avantages. En règle générale, un fichier HTML est une unité d'information judicieuse. Parfois, ce sont aussi des partiea d'un fichier HTML où l'on peut sauter par une ancre. Cela peut être aussi tout un projet fini en soi, dont on a une bonne vue d'ensemble qui comporte plusieurs fichiers que l'on peut considérer comme unité d'information. Pour les contenus créés de façon dynamique, les limites d'une unité sont encore différentes. Sur le Web, même le texte qui ne donne pas du tout l'impression d'être de l' "hypertexte" est possible. Même la documentation que vous êtes en train de lire a en partie plutôt des suites classiques de caractères à lire séquentiellement que ce qu'on attend de l'hypertexte typique. Pourtant il y a aussi sans aucun doute dans cette documentation et sur le Web en général des sujets distincts bien reconnaissables. Il n'y a tout simplement aucun schéma dans lequel ce genre de sujets doivent se laisser cataloguer.

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n:m-Relation (relation n:m), harmonie de la cohésion

Il doit suffire à une unité hypertexte d'être une cible de lien sensée quand elle est appelée de contextes tout à fait différents. Si l'utilisateur, à un endroit quelconque, clique sur un lien menant à cette unité de texte, l'unité de texte doit être structurée de telle façon que dans tous les cas elle satisfasse au changement de pensée que l'utilisateur a "osé" avoir avec ce lien. Étant donné que le contexte à savoir la relation avec l'information à partir de laquelle l'utilisateur a cliqué peut être très différent, cette unité de texte doit être ainsi conçue qu'elle satisfasse à tous les contextes imaginables. Elle ne peut le faire qu'en s'enfermant en quelque sorte pour se concentrer radicalement sur ses propres assertions. Cet enfermement sur soi est désigné comme "harmonie de la cohésion". La constellation que de nombreuses autres unités de texte puissent mener par un lien à une seule et même unité de texte s'appelle la relation n:m-Relation (n = nombreux, m = une cible quelconque mais une cible déterminée).

Avec le terme d' "unité d'information", Démonstration - nouvelle fenêtre Kuhlen essaie d'instaurer un terme scientifique de l'information discuté pour l' "unité" d'un hypertexte. Ce faisant il développe aussi la problématique de l'harmonie de la cohésion, car:

"La connaissance ou plutôt l'information actuelle est toujours incorporée dans un contexte plus important sémantique et / ou dialectique" (Démonstration - nouvelle fenêtre Kuhlen, page 81). il n'existe pas d' "élément autonome d'information". Comment est-il alors possible de proposer de l'information dans des unités hypertexte qui doivent satisfaire à la condition d'être un tout cohérent? "Bien que tout l'art réside à fixer des unités d'information de telle sorte qu'elles se suffisent `elles-mêmes pour être comprises elles doivent en même temps par un lien mener à leur contexte d'information" (Démonstration - nouvelle fenêtre Kuhlen, page 81).

Une unité hypertexte doit en conséquence former un tout et en même temps mener explicitement par un lien à une information parente ou hiérarchiquement supérieure pour montrer au lecteur/utilisateur le contexte de cette information. Cela peut prendre la forme de liens croisés exécutables, de liens au niveau supérieur ou de liens à des aides de navigation particulières.

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Web-views (Visualisations Web)

À la différence d'un livre, on ne peut pas voir immédiatement d'un hypertexte sauvegardé électroniquement, quel volume il représente. Le lecteur/utilisateur a pourtant la tâche facilitée pour la navigation dans l'offre d'information, s'il peut se faire une représentation pratique de l'offre d'information, s'il peut se représenter donc un "espace" d'information avec telle ou telle taille et complexité. Cela réduit le sentiment d' vers le bas "être perdu dans l'hyperespace") .

Les Visualisations Web sont des vues globale sur un hypertexte qui visent à visualiser l'espace d'information proposé. Une Visualisation Web doit pouvoir montrer à l'utilisateur qui navigue l'hypertexte complet comme une espèce de plan d'une ville et pouvoir afficher dans la mesure du possible, dans chaque situation où il se sera mis, un "Vous êtes ici!". Pour cela il faut en tout état de cause des possibilités de représentation graphiques bien au point. Qu'on s'imagine seulement un hypertexte avec des milliers d'unités de texte et davantage encore de liaisons. La visualisation d'un tel réseau pose problème et on peut se demander s'il y a un gain pour l'orientation du navigateur. Dans la pratique, les visualisations Web locales ont plus de sens; elles représentent la partie actuelle du document dans son contexte, ou les Visualisations Web non-locales qui présentent avant l'exécution d'un lien à une autre partie du document, si on le souhaite, cette partie du document sous forme de récapitulatif.

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fish-eye views (visualisations œil de poisson)

une visualisation œil de poisson est une offre d'avoir une information plus détaillée sur un thème abordé. La possibilité d'approfondir aussi loin qu'on le désire un thème au choix sans délai, est encore du domaines des visions de l'hypertexte. Pas besoin de feuilleter longtemps, de chercher sur un autre rayon, de courir dans une autre bibliothèque, mais un simple clic de souris ou une touche qu'on appuie. La disponibilité de l'information au moment de la concentration et de l'intérêt spontané. Cela doit fonder la "plus-value informationnelle" (Démonstration - nouvelle fenêtre Kuhlen) de l'hypertexte par rapport aux sources d'information traditionnelles.

La condition préalable en est des réseaux hypertexte de taille gigantesque. Autre page d'information Ted Nelson passe pour un précurseur dans la conception de tels réseaux. Avec son projet Xanadu il a voulu créer un tel réseau. L'émergence d'un tel projet lui a été refusée. À la place, nous avons aujourd'hui avec le World Wide Web un réseau dont la croissance met dans l'ombre même les rêves les plus téméraires des visionnaires de l'hypertexte. Pourtant c'est justement la prolifération incontrôlée de ce réseau qui rend difficile la réalisation de visualisations œil de poisson. Étant donné qu'ici aussi la qualité de l'information est si variable, un système de visualisations œil de poisson organisé est réalisable dans des parties du WWW, par exemple entre certains fournisseurs d'information orientés vers le domaine scientifique.

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Information Retrieval (recherche documentaire)

La Information Retrieval (recherche documentaire) est l'art et la manière avec lesquels un utilisateur arrive en fin de compte à des informations concrètes dans des grandes quantités de données.

Un projet hypertexte au point, atteint par son étendue facilement des ouvrages en plusieurs volumes. Un tel hypertexte sera plus utilisé pour rechercher une information ciblée que pour bouquiner tranquillement. Dans des bases de données classiques celui qui cherche l'information y parvient par des requêtes correspondantes. C'est lui qui doit formuler ces requêtes, par exemple "montre moi tous les clients qui habitent Monaco, sont célibataires et gagnent plus de 5 000 € par mois ". Pour ce faire, il doit pourtant savoir auparavant ce qu'il cherche. Dans des quantités d'informations orientées sur le texte, la formulation d'une requête est plus compliquée que dans des données structurées. Les recherches de mot clé dans une base de données en texte ne peuvent jamais donner - tout au moins sans mise en œuvre d'intelligence artificielle - de résultats des recherches aussi riches d'informations et aussi exacts que des requêtes dans une base de données orientée sur des champs.

Dans des quantités d'informations orientées sur le texte, l'accès à l'information doit pour cette raison être organisé pour être idéal sur plusieurs voies. La recherche de mots clés soutenue par programme doit être possible de la même façon que l'accès par un système de liens bien sous-divisés.

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Orientation, Navigation, "Lost in Hyperspace" (perdu dans l'hyperespace)

Si on examine un hypertexte "vu d'avion" il s'y trouve des vers le haut relations n:m. Du point de vue du lecteur d'un hypertexte pourtant, il n'y a pas de relations n:m. Dans une situation donnée, il y a tout au plus une relation 1:m, à savoir plusieurs liens qui partent de l'unité de texte actuelle. Ces liens représentent - avec les fonctions hypertexte toujours disponibles comme les vers le bas Backtracking (retour en arrière) et signets - l'arsenal des possibilités d'orientation que l'utilisateur a à sa disposition pour voyager judicieusement dans une offre d'information.

Ce qui peut vu d'avion avoir l'air d'une liberté de mouvements dans un réseau fascinant est du point de vue de l'utilisateur concret de ce réseau la tâche de se retrouver dans ce réseau dont il n'a pas une vision immédiate, de s'y orienter. Se mouvoir dans un réseau hypertexte dont on n'a qu'une vue partielle signifie y naviguer. L'emprunt au monde du voyage en haute mer est choisi intentionnellement et a poussé le fournisseur de navigateur Netscape à baptiser au début son célèbre programme le Netscape Navigator.

Celui qui navigue s'oriente aux liens qui lui sont proposés. Si les liens ne sont pas intelligents et ne dressent pas une relation contextuelle, celui qui navigue est menacé de perdre son orientation et de tomber dans cet état que l'on désigne dans la littérature hypertexte comme Lost in Hyperspace - perdu dans l'hyperespace.

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Chemins, Trails (pistes), Guided Tours (visites guidées)

La plupart des utilisateurs de l'hypertexte ne sont pas encore des "navigateurs" expérimentés. Ils sont habitués à prendre des informations dans des livres et ils souhaitent avoir en plus des sauts hypertexte indélébiles la possibilité de parcourir l'offre d'information par une suite d'étapes prédéfinies. Ce genre de chaînes d'unités d'un hypertexte reliées entre elles est désigné par chemin - en anglais trail (piste)- ou aussi comme visites guidées - en anglais guided tours.

La présente documentation vous propose sur les pages comme celle-ci par exemple à la fin de la page des sauts aux pages suivante et précédente. Maintenant, il n'en va pas toujours ainsi que le thème qui se trouve après le thème actuel lui soit très proche quant au contenu. Il s'agit davantage d'une proposition qui doit encourager à voyager plus loin même dans des situations critiques - à savoir des situations du genre: "Je ne sais vraiment pas du tout ce qui m'intéresse maintenant" (le sentiment typique du vers le haut Lost in Hyperspace).

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Backtracking (retour en arrière), Historie (historique), signets

Backtracking signifie refaire en arrière le chemin parcouru pour la lecture. L'historique est ce qui est nécessaire pour le faire: le protocole des unités hypertexte visitées jusqu'à un moment donné.

Les signets - en anglais bookmarks - sont des repères que le lecteur pose pour des unités de texte particulièrement intéressantes pour lui ou pour des unités de texte centrales auxquelles il peut sauter à tout moment.

En hypertexte même de telles fonctions ne sont pas réalisables, tout au plus adressables (ainsi l'auteur d'une page Web peut-il demander par exemple avec Autre page d'information JavaScript les pages Web visitées par l'utilisateur). D'abord pourtant, il faut que le logiciel de navigation utilisé par l'utilisateur mette ces fonctions à sa disposition, étant donné qu'il s'agit dans les deux cas de données de navigation spécifiques à la session ou bien de points marquants de la navigation spécifiques à l'utilisateur.

Pour quelques produits logiciels la durée de vie de signets et de l'historique est limitée à une session, c'est à dire que les données ne sont conservées que dans la mémoire de travail et sont perdues quand le programme de navigation est fermé ou bien elles peuvent être durablement sauvegardées sous forme de fichier. La plupart des navigateurs modernes permettent à l'utilisateur de régler eux même jusqu'où l'historique doit pouvoir remonter.

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Browsing (navigation), Authoring (création)

Browsing signifie navigation ça et là et même avec une plus-value informative ou créative. C'est ce que souhaitent pour le lecteur les tenants de l'hypertexte enthousiastes . Pourtant aussi longtemps qu'il n'y aura pas d'hyper ordinateur les liens que le lecteur doit découvrir seront posés par les auteurs.

Authoring est la tentative à vrai dire impossible de munir un hypertexte de toute l'intelligence qui seule doit communiquer au lecteur la plus-value par rapport au texte séquentiel. À vrai dire il faudrait que des auteurs hyper intelligents écrivent pour des lecteurs normalement intelligents. Pourtant il n'y a pas que des auteurs normalement intelligents qui écrivent de l'hypertexte - non, même les lecteurs eux-mêmes continuent à écrire des hypertexte. Car la poursuite de l'écriture par l'utilisateur fait elle aussi partie de l' Authoring dans certains systèmes hypertexte. La séparation entre l'auteur et le lecteur dans le domaine de l'hypertexte est, théoriquement du moins, coulante et en partie levée car les contraintes propres aux médias imprimés telles que le tirage, les coûts pour une réédition etc... sautent pour beaucoup.

Dans les systèmes hypertexte on distingue généralement entre les navigateurs simples (accès en lecture seule) et les systèmes qui permettent l'édition ou la poursuite de l'écriture. Une poursuite de l'écriture de tout et par tous n'est cependant possible dans la pratique que dans des cercles restreints d'utilisateurs, pour éviter une entorse juridique aux droits de propriété intellectuelle et pour préserver la qualité. Sur le Web une distinction est clairement faite - bien que son père fondateur s'y fût longtemps opposé - entre les fournisseurs et les lecteurs de pages Web. Par des chemins détournés techniques comme l'interface Autre page d'information CGI il est en effet possible de réaliser des projets Web qui croissent de façon interactive et auxquels plusieurs personnes peuvent travailler en ligne. Un forum de discussion est par exemple une application de ce genre et des forums de discussion avec beaucoup d'articles de haut niveau font bien partie aussi des formes modernes les plus palpitantes de l'hypertexte.

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Sharks (requins), Holy Scrollers (saints défileurs), fichier, métaphore livresque

Dans le monde spécialisé de l'hypertexte un débat s'est ouvert entre ceux qui veulent interdire le défilement (faire monter ou descendre le texte) et ceux qui veulent l'autoriser. Les Sharks (requins) sont ceux qui plaident pour qu'une unité de texte doive être perçue d'un coup d'œil; Les Holy Scrollers (saints défileurs) sont ceux qui ne veulent pas imposer à la taille d'une unité de texte, les limites d'un écran. Les requins tendent à créer des hypertextes comme des système de fichier. L'élément de base y est la fiche avec sa taille invariable. Les saint défileurs par contre privilégient la métaphore livresque pour la création d'hypertextes. Les éléments de base y sont des portions de texte de longueur variable selon les circonstances.

Aujourd'hui des systèmes qui n'imposent plus de limites de taille à une unité de texte se sont largement imposés. Même les pages Web peuvent avoir la taille que l'on veut leur donner. Pourtant, justement sur le WWW et à l'aide de techniques comme les Chapitre: vue d'ensemble cadres souvent une proposition d'information tient sur un écran car la perception du contexte global de l'information a des avantages incontestables.

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Hypertext Abstract Machines (Machines hypertexte abstraites)

Dans de nombreux domaines de la programmation, il s'est souvent avéré que la meilleure méthode d'implémentation était de réaliser avec des moyens techniques logiciels une machine abstraite ou virtuelle... pour une classe de programmes d'application, sur laquelle le logiciel proprement-dit peut ensuite travailler (Démonstration - nouvelle fenêtre Schnupp, page 85).

Un exemple à l'appui sont les bases de données comme dBase, FoxPro parmi d'autres, qui prennent la place de logiciels spécialisés distincts, par exemple pour la gestion des clients, la gestion des stocks d'une bibliothèque etc. La même chose vaut pour l'hypertexte: on peut programmer l'hypertexte définitivement ou bien on programme un logiciel indépendant, abstrait qui soutient l'implémentation d'hypertextes en mettant à sa disposition les moyens et fonctions appropriées. Comme système professionnel de ce genre Schnupp cite par exemple le produit HAM (Hypertext Abstract Machine) ou HyperBase.

Le concept cependant va encore plus loin dans la standardisation d'un format de données hypertexte qui ne soit pas lié à un logiciel déterminé. Le format jusqu'alors le plus ambitieux de ce genre est SGML (Structured Generalized Markup Language), aujourd'hui répandu davantage dans sa descendance plus modéréeAutre page d'information XML. Une sous-classe de SGML et récemment aussi de XML est le Autre page d'information HTML, le format de données pour pour l'hypertexte sur le World Wide Web. Ici, il ne s'agit plus exactement d'une machine hypertexte abstraite au sens strict du terme, mais d'une forme abstraite d'hypertexte - ce n'est pas seulement indépendant de toute application mais aussi indépendant de toute plate-forme.

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World Wide Web

L'hypertexte sur le Web dépasse sur deux points les réalisations hypertexte liées à des produits logiciels dans l'Autre page d'information histoire de l'hypertexte :

À vrai dire le projet Xanadu de Ted Nelson vise un apport similaire global étendu de la même façon, mai il fut dépassé pourtant par le développement du Web. Le Web est une plate-forme maintenue la plus générale possible pour un hypertexte mondial en ce sens qu'il ne fixe que des éléments formels tels les formats de date, les adresses et les protocoles de communication logiciels.

La réalité du Web aujourd'hui est il est vrai un peu différente que dans les rêves des fournisseurs d'information reliés dans le monde. La commercialisation, les offres égocentriques et les informations nulles dominent. Le "véritable" hypertexte conduit plutôt au sentiment de pantouflage. Pourtant aussi longtemps que les "véritables" hyper-liens trouveront leur chemin sur le réseau, une utilisation diversifiée du Web n'est pas forcément dommageable. La commercialisation y compris la lutte de la concurrence peut aussi contribuer à ce que des aspects posant problème sur le plan financier comme de plus hautes largeurs de bande pour la transmission de données soient résolus plus facilement dans le futur.

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